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 Zéphyr Nishikaze, surveillant

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Zéphyr Nishikaze
{ Surveillant Eole }
Zéphyr Nishikaze


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MessageSujet: Zéphyr Nishikaze, surveillant   Zéphyr Nishikaze, surveillant Icon_minitimeJeu 10 Avr - 16:09

Nom: Nishikaze

Prénom: Zéphyr

Age:
20 ans

Surnom: Zeph / Wind Master / Eole (que dans certains cas particuliers)

Poste souhaité: Surveillant

Histoire: Un beau matin de Mai, un jeune garçon vînt au monde, torturant sa mère, dans un hôpital de campagne du Japon. On manquait de soins pour appaiser les douleurs de la femme, ses cris étaient insuportables et son mari, se rongeant les ongles dans le couloir s'acharnait sur les pauvres infirmières. "Mais qu'est-ce qu'ils lui font ?! Qu'est-ce qu'ils lui font ?!" On ne cessait de lui demander de rester calme, que les médecins faisaient leur possible pour faire naître son enfant et qu'il aurait été peu raisonnable de les interrompre en plein milieu de leur travail. Il continuait donc de s'arracher les cheveux, et à pleurer de peur sur son siège. Il se décida donc à sortir fumer. De dehors on entendait les cris de la mère. Il n'en pouvait plus, ses mains tremblaient, de la sueur froide coulait le long de son front, et il marmonait des paroles inaudibles, tout en piétinant les mégaux de cigarettes.
A l'intendance, l'infirmière tapait sur son clavier. Le téléphone coincé entre son oreille et son épaule, elle discutait gaiement avec très certainement une amie, entre deux cris, et sous les yeux attristés des patients patients. Cette fois, c'était un cri de trop, l'homme retourna dans l'hôpital, courrant presque, sa cigarette à la main, serrant les dents, les yeux exorbités. Il passa devant l'intendance.


"C'est pas vraaaaaai ? Olala et t'as fait quoi ? ..."

Il se précipita dans la chambre de sa femme, poursuivi par les questions des médecins intrigués, leur blocs notes à la main. Il claqua la porte contre le mur et hurla.

"TAAAA GUEUUUUULE ! MAIS TA GUEULE ***** !"

Il se jeta sur sa femme, poussant vivement un médecin qui finit sa chute dans le matériel médical, deux seringues plantées dans la hanche. Il la frappa une fois au visage et tenta de l'étrangler avant que deux médecins à la carrure suffisante l'empoignèrent et l'imobilisèrent au sol. La femme ne criait plus, du sang coulait de son visage ruisselant de sueur, completant un tableau atroce, les draps imbibés de rouge et le sol parcemé de sang coagulé. Le mari fut emporté par la police. La femme était morte et on du extirper rapidement, par incision, le bébé, non-alimenté par l'oxygène de sa mère. On le plaça rapidement en couveuse, lui prodiguant des soins très attentionnés.

"Ah il nous aura bien emmerdé ce ptit gar là..."

"Oh oui docteur."

"Véronique ?"

"Oui docteur ?"

"Tenez, venez, entrez par là..."

"Oui docteur... Mais oh docteur... Oh oh oh..."

Oh lala Véronique..."


CLAK

Voici donc comment Zéphyr, enfant non-adoré vînt au monde. Dans un monde stressé ne se souciant pas des pauvres enfants issus de mauvaises familles, et détestant par dessus tout, oui par dessus tout, ce qui sort du normal.
Zéphyr en l'occurence sortait du cadre parfait du merveilleux rêve américain. On l'avait placé dans un établissement spécialisé, dans ce paysa, dès son plus jeune âge. Il ne connut donc que cet orphelinat qu'il apprit rapidement à détester. Les femmes qui le dirigeaient n'étaient que de pieuses et vieilles nones perdues dans leur convictions religieuses. Elles persécutaient le pauvre enfant qui, il faut le dire, ne leur rendait pas la vie facile. Il ne venait jamais à ces stupides cours de crétinté, préférant de loin aller fumer avec les grands de la rue. Il était devenu leur "novice" et il apprenait au fur et à mesure des années les règles de la ville. A douze ans, il avait déjà assisté à deux meurtres, et en avait commis lui-même un, assomant un homme qui s'en prenait à sa meilleure amie, Lili, fille de médecin. Sauf que ce malheureux vase brisé sur le crâne de ce type provoqua rapidement une émoragie et aboutit tout aussi vite à la mort de celui-ci.


"Merde ! Zéphyr ! Qu'est-ce que t'as fait ?!"

"Chut viens, faut partir de là !"

"Mais on peut pas le laisser là..."

"Viens je te dis !"

"Mais AAAh"


Il tira par la main la jeune fille qui fut contrainte de le suivre. Il l'emmena au squat de ses amis,qui l'acceuillirent comme d'habitude.

"Tiens tiens tiens, mais qui voilà c'est le petit Zéphyr !"

"Salut Dan."

"Mais qui t'ammène ? Ta petite copine ? Hey les gars ! Zéph nous a apporté de la compagnie !"


-A part-

"Zéph mais qui sont ses gens ? ..."

"T'inquiètes pas des amis..."

"Mais Zeph..."

"Chut."


-Haut-

"Hey ptit gar, venez par là... Alors, raconte, qu'est-ce qui t'arrives ?"

"On est dans la merde, un... Type... Il... Il a agressé mon amie, dans la rue du pendu... Et... Et maintenant il est mort... Et je sais pas quoi faire !"

"Ah merde... T'inquiètes pas, on va s'occuper de ça, allez là-bas près du feu. Je vais aller m'occuper de ça avec les copains. Tim ! Jim ! Venez m'aider on a du travail."


Son premier contact avec la mort. La première fois qu'il était aussi proche avec une fille. Il demeurèrent durant toute la soirée dans ce sombre endroit où on faisait la fête pour se réchauffer. Son amie finalement se plaisait à rester avec lui et ses amis. Il continuèrent ces petites soirées pendant plusieurs années. Chaque soirs, Zéphyr devait rentrer à l'orphelinat, chaque soir on venait l'emmerder avec ses retards, mais tout tournait toujours en sa faveur, et on lui fichait la paix. Enfin, après avoir nettoyé toutes les salles de l'étage des garçons.
Tandis qu’il s’acquittait de sa tache, certes en pestant contre les « vieilles harpies », la voix d’une de ces sorcières raisonna dans l’escalier, faisant vibrer les murs de l’étage. On entendait son pas lourd s’avancer, il s’agissait de la sœur Jenova, chef de la chorale et de l’enseignement religieux, mais aussi, à ses heures, surveillante de l’étage des garçons. Un souvenir pour le moins désagréable remonta à l’esprit du jeune homme, depuis plusieurs jours il n’assistait plus aux messes du dimanche, et à plusieurs reprises cette grosse none avait essayé de le coincer. D’habitude il pouvait toujours fuir, mais aujourd’hui, trop exténué pour sauter par la fenêtre, il décida de se planquer dans le placard le plus proche. Une place entre les balais et les sceaux lui tendait les bras. Retenant sa respiration, il tachait de ne pas se faire remarquer, une seule erreur de sa part et c'était la grosse. Hélas, comme on peut s'en douter, celle-ci arriva. La grosse, mais aussi l'erreur. La poussière, petites particules volatiles ayant pour habitude de s'insinuer dans chaque interstice possible. L'allergie, une grosse connerie inventée par Dieu. Dans un éternuement plus que raisonnant et une dégringolade d'objets divers et variés la porte du placard s'ouvrit avec fracas libérant son contenu, dont Zéphyr. Projeté avec une force qu'il n'aurait pu croire, il se retrouva aux pieds de la femme dont les chaussons odorant eurent un effet repoussoir sur le garçons qui par réflexe tenta de s'en extirper. La bonne soeur l'attrapa par la peau du cou et le souleva de terre. Il n'était pas très grand ni très lourd et elle était dotée de la force d'un camionneur. Fille de marin. Pour une raison encore indéterminée, elle le frappa au ventre et le renvoya brutalement au sol, plongeant son regard sévère et électrique vers le jeune homme. Elle hurla dans le couloir en pestant contre lui, l'agressant verbalement en osant proférer des paroles obscènes à l'encontre de ses parents. C'est à ce moment là que survint le "miracle". Zéphyr disparu pour ainsi dire, laissant place à une autre face cachée de lui même. Cet autre lui se releva sans la moindre difficulté, planta ses yeux dans ceux de la femme qui, ayant fini ses injures commença à douter. Un courant d'air de plus en plus violent tournoyait de long en large dans le couloir, décrochant les tableaux et envoyant cogner contre les murs les outils encore à terre. Une voix sombre et glaciale s'éleva dans le vacarme, elle semblait sortir de la bouche du garçon dont les lèvres ne bougeaient que très légèrement:


"La mort n'est que le commencement de la fin"

Sans plus tarder, soulevée rapidement du sol, la mère Jenova hurla à la mort avant de traverser la fenêtre du bout du couloir, qui éclata et trancha son corps disgracieux .Un bruit de masse qui tombe allié à celui d'un craquement sinistre rompit le silence du parc. Il fallut quelques secondes de compréhension avant que le cri des autres soeurs ne se mirent en alerte. On monta voir à l'étage. Là, se tenait debout, les bras le long du corps, le jeune Zéphyr. Il tourna lentement son regard vers le curé et les quelques soeurs dont les visages exprimaient une terreur sans précédent. Ses yeux était immaculés de blanc, plus aucune trace du complexe oculaire, seul les globes blancs demeuraient dans ses orbites. Il tomba lentement sur ses genoux avant de basculer sur le côté. Pétrifié, le moine ne put lâcher que quelques mots:

"Dieu tout puissant ! Qu'on soit maudit... Il en est un !"

Au bout d'intenses réflexions auprès de ses soeurs, ils parvinrent à une solution les arrangeant bien. Il était comme leur fils, ils l'avaient élevé depuis sa naissance, mais malgré tout il en faisait parti. Donc ils décidèrent de le livrer au bureau d'étude des phénomènes génétiques. Seulement, ils n'étaient pas les seuls à être au courant des capacités du garçon. Zéphyr sortit, inconscient, de l’orphelinat dans une camionnette marquée d'une croix verte. Une voiture noire les suivaient de loin. Au fur et à mesure du trajet elle se rapprochait, et arrivée à hauteur, elle les dépassa et s’en alla à vive allure. Deux minutes après la camionnette se crashait et un homme en blanc sortit des décombres, il s’agissait du chauffeur. Il ne semblait pas blessé et passa un léger coup de main sur sa blouse blanche avant de se diriger vers l’arrière de la camionnette fumante. A l’intérieur se trouvaient deux autres médecins, dont une femme, tous deux morts sur le coup. Soudain, l’homme arracha sa peau, révélant sa nouvelle identité, un individu vêtu de noir, les cheveux rouges. Il abandonna sa peau mue sur le brancard et détacha Zéphyr, le prenant sur son épaule. De carrure solide , son poids ne lui posait aucun problème. Il marcha un quart d’heure, le garçon toujours évanoui sur son épaule et et arriva enfin à la fameuse voiture noire. Là, un homme à lunette et costume l’attendait.

“Tu es en retard, tu n’aurais pas du chavirer aussi tôt.”

“Désolé”


[i]Il plaça le gamin sur la banquette arrière et s’en allèrent. Le voyage commença, et deux heures après, il se roulaient en forêt. Il s’arrêtèrent enfin devant une grande grille noire. Il lâchèrent Zéphyr toujours évanoui devant la porte et reprirent la route. Au bout de deux heures. Il se réveilla, bâillant et l’air endormi. Il lui fallut bien une minute pour s’étendre et enfin analyser la situation dans laquelle il se trouvait -Nickron, Institution pour Mutants-. A partir de là débuta son histoire en tant que mutant, et son éducation en tant que possesseur du don “vent”.
Quelques jours après son arrivée à l’école, une jeune mutante arriva à son tour. Mais dans des conditions plus favorables. Elle contrôlait un don assez particulier, celui des illusions, qui la rendait assez redoutable. Cette jeune fille était donc la fameuse amie de Zéphyr, Lili. Celle-ci en arrivant commença comme à son habitude à le bouder, consternée par sa disparition soudaine. Il avait beau lui expliquer que ce n’était pas de sa faute, que lui-même n’arrivait toujours pas à comprendre comment il avait atterri ici, elle ne lui adressa plus la parole. Pendant deux jours. L’essentiel était qu’ils s’étaient enfin retrouvés.
Quelques jours après, un autre mutant débarqua dans l'école. Il s’appelait Otocto et contrôlait le tissu. Cet être était aussi dangereux que bizarre. A première vue, il faisait froid dans le dos, vêtu de vêtements en lambeaux, il n’avait qu’une seule jambe (l’autre composée d’un amoncellement de bandelettes), une grande cicatrice déchirait la peau de son épaule droite à son flanc gauche, un regard inexpressif et des rumeurs dès son arrivée sur un soi-disant meurtre qu’il aurait commis... Et à seconde vue, il était sinistre, triste, mélancolique et très peu sympathique à l’égard des autres élèves. A cette époque, on évitait de se retrouver avec lui, seule une jeune fille qui, arrivée en même temps que lui, fit sa connaissance et capta sa sympathie. On ne se doutait pas quels secrets il gardait enfouis dans son esprit. Tout resta néanmoins calme... jusqu’à un certain point. Un chaos pas possible s’engagea dans le pays, on pourchassait les mutants et ces derniers se cachaient de la vue des humains ordinaires.
Seuls quelques individus demeuraient à Nickron. Ils protogeaient tant bien que mal leur école, chaque jour plus délabrée. C'est alors que la grande bataille eu lieu. Celle des hommes et des mutants. On sait que sur cette planète existe une organisation militaire-scientifique. Celle-ci prône l'utilisation des mutants comme sujets d'experimentations pour de prochaines armes, des armes d'un genre nouveau. Certains mutants les aident, quelques exceptions, généralement les plus puissants, les têtes-brûlées. Les autres luttent contre cette organisation malhonnête, bon nombre des élèves de l'école aboutissaient à devenir les protecteurs des mutants, ce sont eux qui assistèrent au conflit. Zéphyr faisait parti de ces guerriers. Une nuit donc, alors que tout semblait paisible, que rien ne semblait présager une éventuelle guerre, une explosion retentit. Zéphyr enfila un pantalon et se précipita à la fenêtre. Des hommes armées approchaient en courant de l'école, brandissant une croix verte. Ils étaient nombreux et accompagnés de technologies avancées contre lesquelles les mutants auraient du mal à faire face. Immédiatement, quelqu'un tambourina à la porte de sa chambre. Il s'agissait de sa chère Lili.


"Zéph ! Vite ! Ce sont eux !"

"J'ai vu merci !"

"Et bah grouille qu'est-ce que t'attends ?!"

"Oui oui j'arrive !"


Il ouvrit sa fenêtre à la volée et sauta par celle-ci. Quatrième étage tout de même. Lili, quant à elle, dévala les escalier et se dépêcha d'aider les élèves en difficulter à retenir les soldats. Au loin, on pouvait voir trois mutants lutter contre une chose... Une chose étrange... En fait c'était une grande boule de feu. Mais la boule de feu souriait. Un homme se touvait en son centre, un mutant donc. Il envoya voler un de ses adversaires qui tomba brutalement au sol et ne se releva pas.

"Merde !"

Il vola de toutes ses forces en direction d'un groupe de soldat qui coursait une jeune mutante en détresse... La pauvre n'arrivait qu'à faire pousser des fleurs sous leurs pieds... Le jeune homme se posa sur le sol devant le groupe.

"Salut"


Dernière édition par Zéphyr Nishikaze le Jeu 17 Avr - 0:12, édité 6 fois
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Zéphyr Nishikaze
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MessageSujet: Re: Zéphyr Nishikaze, surveillant   Zéphyr Nishikaze, surveillant Icon_minitimeMer 16 Avr - 17:28

[Souite]

Et fonça dans le tas, les yeux blancs, un sourire sadiques sur les lèvres. Dans le même élan que Zéphyr, le groupe s'éleva dans les airs et, toujours entraîné par le garçon, fut violement claqué sur le sol. Aucun ne se releva, sauf le Zéphyr qui, d'un regard charmeur lança un clin d'oeil à la gamine. Aussitôt, alors qu'elle regardait son chevalier, quelque chose l'attrapa et la jeta brutalement dans les airs.

"YAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH"

Paniqué Zeph adoucit la chute de l'enfant qui retomba dans ses bras. Elle était évanouie.

"Et bien et bien... Voilà une qualité qui se fait de plus en plus rare."

Un garçon au teint pâle et au regard triste le regardait. Il était debout sur une grande fontaine de pierre.

"Tu ne me connais pas je crois, Otocto, pour te tuer."

"Me tuer ? Tu rigoles j'espere ? Je suis..."


Des bandelettes en forme de poing le heurtèrent de plein fouet et l'envoyèrent avec la fille dans les bras un peu plus loin. Aussitôt une mutante se précipita vers lui. Son professeur.

"Et bien mutant, que faites vous à terre, dépêchez vous de vous relever et attaquer cet homme !"

Elle pris le corps toujours inerte dela jeune fille et se dépecha de la cacher avec les autres élèves.

"Tu vas me le payer..."

Zeph se releva et pointa un doigt vers son adversaire. Mais il n'eu le temps de rien dire, on lui coupa la parole.

"Tu devrais mieux surveiller ceux que tu aimes "

Le garçon pointa son doigt en direction d'un enchevêtrement de tissus divers. Une tête pendue à l'envers dépassait. Cette tête lui était familière il s'agissait de...

"Lili..."

"Viens la chercher"


Le garçon sauta d'un arbre à un autre, s'enfonçant dans la forêt. Sans prendre le temps de réflechir. Vite il arrivèrent dans un clairière. là le garçon l'y attendait. Il était assis, le corps de la jeune fille à côté de lui, inconsciente. Une lutte s'engagea entre les deux garçons. Sauf qu'on voyait nettement qui avait l'avantage. Zéphyr tentait de réagir le plus vite possible, mais les agressions d'Otocto était rapides et innatendues. Rapidement, il fut à bout, il explosa, Eole sortit de ses gonds, mais avant qu'il n'arrive à bout de sa mutation, sentant le danger, le garçon l'enveloppa dans un cocon de bandelette qui en quelques secondes explosa. Le corps de Zéphyr gisait sur le sol, dans une mare de sang. Zeph leva douloureusement ses yeux en direction du garçon.

"Sa... Sa... Salaud"

Le garçon se tourna vers Lili.

"Tu ne devrais pas dire des choses pareilles en de telles circonstances"

La fille se réveilla doucement.

"Qu'est-ce... Qu'est-ce qui..."

"Oh puis toi tu m'agaces."


Dans le même geste qu'il effectua envers Zéphyr, il créa un sarcophage autour de Lili qui explosa, mais plus violemment que la première fois, une explosion de sang et le corps de Lili tomba à son tour sur le sol.

"NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !"

Zéphyr se releva brutalement. Il ne put faire qu'un pas avant de retomber sur l'herbe, provoquant une nouvelle effusion de sang. Le garçon s'approcha doucement de son corps. Zéphyr était toujours éveillé. Il glissa ses doigts le long de la joue de Zeph, et lécha doucement le sang qui y coulait.

"Nourris ta haine envers moi, rends toi plus fort, traque moi..."

Il laissa le corps de Zéphyr dont le regard plongea dans l'obscurité.

-Obscurité-

Mais qu'est-ce que... Au mon Dieu... Zéphyr... Zéphyr tu m'entends ? Vite ! Allez aidez moi à le transporter..."

-Lumière-

Cela fait près de deux ans aujourd'hui que Nickron a été détruite. La guerre Homme/Mutant a cessé, mais certaines activités (organisations) sont toujours en lutte. Depuis deux ans, Zéphyr est à la poursuite du même individu. Faisant des haltes dans les endroits fréquentés par les mutants, se renseignant auprès des individus les plus douteux, Zéphyr n'a jamais pu retrouver la trace de l'assassin.
Aujourd'hui, il a appris l'existence d'une nouvelle école, fondée sur les même principes que Nickron. Zéphyr s'y est rendu et aujourd'hui postule dans cet établissement.


-Surion école pour mutants-

Don: Contrôle du Vent. L'évolution du pouvoir de Zéphyr gère sa puissance et les techniques. Elle se divise en plusieurs stades qui sont visibles par des modifications occulaires:
Globe blanc: Evolution 1
Pupille noire: Evolution 2
Pupille d'Eole: Evolution 3
Globe Noire: Evolution ultime

Défaut du don: Lorsque ses émotions prennent le dessus, il perd le contrôle et un autre individu prend sa place, il s'agit d'Eole, un esprit maléfique du vent, au caractère mauvais et destructeur bien que malin.

Caractère: Zéphyr est un individu assez particulier. Son humeur joue énormément sur son caractère. Il se plait à séduire, à draguer, à batifoler, bref, c'est un charmeur confirmé. Zéphyr était donc un être enjoué, passionné n'ayant pas froid aux yeux. Pourtant, si il y a un danger trop grand, généralement il tournait les talons. Seulement, la nuit du conflit, le sort de Lili fut mis en jeu, ce qui eu un effet d'effroi chez Zéphyr. Il aimait Lili, plus que tout. La peur est donc un sentiment qui le domine, malgré le fait qu'il ait tendance à la cacher. Aujourd'hui, le jeune homme a bien changé. Il deteste beaucoup de chose, est devenu grognon, il aime toujours prendre du bon temps avec les femmes, mais il ne partage jamais sa bonne humeur... Pour la simple raison qu'il n'en a plus. Il reste dans le sombre souvenir de la mort de son amie. Chaque nuit il revit le drame de Nickron, chaque nuit ce sont des sueurs froides qui le réveillent. Malgré tout, il ses passions sont toujours les mêmes, il aime se battre et l'art du combat en général. Il est plus méfiant qu'avant, certains sens se sont aiguisés. Il est plus malin, plus fort, et plus attentifs qu'avant, mais n'en demeure pas moins franc et direct, ce qui provoque assez souvent la discorde au sein des groupes qu'il fréquente.

Relation avec les humains ordinaires: Il les deteste. Tout est de leur faute.

Physique: Il s'habille d'un vêtement blanc, à savoir une chemise blanche bouffante fraîche, un pantalon munis d'une grosse ceinture avec une boucle en argent, et des bottes blanches à lacets entre-croisés blancs, ainsi qu'une grande écharpe qui cache souvent sa bouche. Ou bien la même chose mais en noir. Au fil des années il a pris son air d'adulte, son regard est maintenant dur et froid, bien qu'il brille au soleil, les cheveux assez courts en pétard vers l'arrière avec des pattes, un visage charmeur. Il a de superbes mains fines dont les filles aiment beaucoup parler entre elles.

CODE : Validé par Damaris


Dernière édition par Zéphyr Nishikaze le Jeu 17 Avr - 0:49, édité 3 fois
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Damaris L. Sil'Maya
{ Mère Inquisitrice }
Damaris L. Sil'Maya


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MessageSujet: Re: Zéphyr Nishikaze, surveillant   Zéphyr Nishikaze, surveillant Icon_minitimeJeu 17 Avr - 12:30

    Tout est bon.

    Fiche Validée

    Bon jeu !
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MessageSujet: Re: Zéphyr Nishikaze, surveillant   Zéphyr Nishikaze, surveillant Icon_minitime

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