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 Quali Elvaneski Warumn[incomplète]

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Quali Warumn
{ Inquisitrice Warumn }
Quali Warumn


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MessageSujet: Quali Elvaneski Warumn[incomplète]   Quali Elvaneski Warumn[incomplète] Icon_minitimeMar 15 Avr - 0:28


*Nom : Elvaneski était son nom de jeune fille, Quali l’a perdue à partir du moment ou elle s’est marié, pour prendre le nom de Warumn, nom qu’elle garde même après la mort de son tendre époux.

*Prénom : Qualindra, Quali, Rose, Vanita


Age : 24 ans, né le 29 Novembre dans un hôpital de Moscou en Russie.

Surnom de Mutant : Au par avant les mutants l’appelaient Windyn, pour son chère don du vent et son jolie minois d’ange, mais en est-il la même chose à présent ? Les gens l’appellent-ils encore comme cela ?! A vous de le découvrir… Pour les élèves se sera Professeur Warumn et rien d’autre.

*Physique : amusez vous ! Description vestimentaire, le physique comme le corps, les cheveux les yeux. 6 lignes minimum.

*Caractère : Mlle Quali aurait put être la jeune dame qu’elle asspirait à être. Douce, gentille, agréable, sensible, forte, courageuse, douée, charismatique, joyeuse, d’une humeur gaie et au multitude qualité sociales. Mais elle ne l’est pas, elle ne l’est plus et ne redeviendra jamais comme celle qu’elle fut. Sa joie ? Elle l’a perdue en même temps que le centre de tout, Une nuit d’Aout…
Mlle Warumn n’est pas une coquille vide, son cœur est emplis de sentiments, de douceur, de bon sens, mais depuis un certains temps ses sentiments là ont du mal à faire valoir leurs droits en la personne de notre chère professeur. Elle est intelligente, elle sait faire preuve d’indulgence et est d’une compréhensibilité sans fin face au malheur des gens.
Sévère, injuste et parfois sarcastique Quali n’est pourtant pas de ses personne qui aiment à faire peur à ses élèves, elle aurait d’ailleurs beaucoup de mal. Connue pour sa vitalité, les gens la voie tout de même rarement rire. Elle sourit, bien sur, comme tout le monde. Mlle Quali essaye tan bien que mal d’afficher quelques sourire sur son visage ne serait-ce que pour faire bonne figure.
Son visage serein met en confiance les gens, prêtant parfois à des apparence qui ne sont que trop trompeuse, elle n’est pas naïve, et essaye de faire preuve de combativité lorsqu’un élève lui fait pare de ses problème. Connue pour être une personne compréhensive, fine et charismatique elle est apprécié des gens en générale, pour son minois attirant et ses manières des plus polies.


*Relation avec les humains normaux ou avec les mutants (pour les non mutants): Quali n’a pas d’affinité particulière avec les humains, ils ne la comprennent pas, et elle ne l’est comprend pas. Il sont des être humains et méritent au moins un minimum de respect mais rien de plus. Mlle Warumn ne nourrit pas un haine particulière à leurs égard, mais ne l’est porte pas non plus dans son cœur. Ils lui sont tout simplement indifférents.


Don : son don, L’air… Le vent, l’espace qui vous entoure est une source de puissance pour notre jeune demoiselle. Sachez que l’air que vous respirez peut très bien ce retourner contre vous, il peut vous étouffé, vous bloquez, vous faire succombez en quelques minutes, et il peut tout aussi vous aidez, vous soutenir, vous portez… L’oxygène tout comme toutes sortes de gaz ne sont pas à prendre à la légère, bien au contraire, chacune de ses non matière peut devenir une arme tout comme un pansement.
Quali fut d’abord la découverte des propriétés de ses gaz particuliers qui entouraient et qui entourent toujours notre chère race d’humaine, se jouant avec malice de la condensation de l’air, de sa diffusion. Elle apprit à mouvoir l’ air, à le diriger, et tout en le condensant, elle parvint à faire bouger les objets. Souffler sur un champ de coquelicot lui procura la satisfaction qu’elle attendait depuis longtemps.
Mlle Elvaneski, à l’époque découvrit comment privé quelqu’un de son air, comment étouffer une personne sans avoir besoin de ficelle ou d’un oreiller. Un acte des plus odieux, mais nécessaire en son temps.
Puis quelques temps plus tard son don lui permit de faire quelques prodige, le vent se faisait messager, un bout de papier porté par un souffle continu de vent se fit très utile. Il se fit objet, sans forme, sans toucher, un gaz condensé se faisait lit ou chaise. Quali fit du vent son plus fidèle amis et serviteur, chassant les nuages, ou bien au contraire emmenant un brouillard épais.
Après avoir conquis les mystère des propriétés physiques, mlle Quali se fit manipulatrice des éléments, courant d’air froid, ou bien au contraire chaleureux, alizés, mistral, devinrent ses compagnons, les manipulant à sa guise. Elle apprit la mobilité par vent, la faisant découvrir peut à peut le monde des cieux. Voler était possible.
Son don n’est pas au bout, c’est une certitude, mais Quali avance, et c’est d’ailleurs parce que son don est à un stade très avancé et qu’elle continu à apprendre que Mlle Quali Warumn fait partie de ces mutants particulièrement puissant.

Défaut du don : Son don à bien entendu une limite, elle s’épuise toujours au bout d’un moment, le temps qu’elle y met vari en fonctions du temps, de la quantité de gaz, de ses humeurs, de son organisme. Les conséquences de ses excès vont du simple évanouissement au coma, voir à la mort…
Un autre défaut important de ce don, s’il lui arrive de l’utilisé trop souvent à des moment trop proche il peut lui arriver de s’évaporer, au sens propre, de perdre constance pour devenir la non matière qu’elle manipule si bien. C’est une chose qui lui ai déjà arrivé, dans un espace restreint et très peu de temps, mais que lui arriverai-t-elle si son utilisation prolongé du don la mené à s’évaporé plus longtemps, c’est un mystère qu’elle ne préfère pas découvrir…

*Qualités : Quali est une personne attachante, intelligente, charismatique, attirante, elle n’aime pas vraiment la vie mais s’accroche tout de même à ce semblant de vie qu’elle mène. Butée, elle n’est pas de ce qui renoncent et vas jusqu’au bout lorsqu’elle entreprend quelque chose.

*Défauts : Ses défauts, elle en a des tonnes. Sa tendance prononcé pour la liberté la pousse parfois à faire des choses pas très appréciés des autre membres de la communauté. Lunatique, colérique et quelques peut volage elle est capricieuse, mais tout de même assez facile à vivre. Insomniaque, elle se trouve souvent une passion pour les sorties nocturnes. Intolérante quelques fois et froide souvent. L’on découvre la véritable personnalité de Quali qu’après plusieurs années…

*Poste souhaité : Professeur

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MessageSujet: Re: Quali Elvaneski Warumn[incomplète]   Quali Elvaneski Warumn[incomplète] Icon_minitimeMer 7 Mai - 13:39

*Histoire :

N’écoutez pas les rumeurs sur le professeur Quali Warumn, ce n’est pas une professeur cruelle et sans cœur, elle n’a jamais tuer un élève, et n’a d’ailleurs tué qu’une fois plusieurs personnes et ses actes étaient presque légitimes.
Ne pensez pas que Madame Warumn est absente ou dans la lune lorsqu’elle regarde à par une fenêtre car jamais Ô grand jamais elle ne perd de vus ses élèves, ne pensez pas qu’elle est bizarre, elle fait simplement partis de ces mutants qui ont subis leurs don.
Ne dite jamais qu’elle est passablement cruel devant les fauteurs de trouble et les élèves qui veulent impressionner leurs mondes, elle a juste eu le cœur brisé, brûler, piétiné, mutilé, dévoré, bousillé, tué, calciné, glacé, frappé, démoli, puis reconstruit, arraché, embroché, aplati, meurtrie, cassé, empalé, désolé un nombre incalculable de fois, détruit à jamais par les renoues incessant d’une vie bien trop riches en peines et en douleurs, des blessures causées par des fauteurs de troubles bien trop important, par des empêcheurs de tourner en rond, par des personnes cruelles, par des parents, par des gens qui se disaient amis. Alors jamais… Ne dite jamais qu’elle est cruelle, car vous ne savez rien de la cruauté…


« Née en Russie, à Moscou plus précisément, dans le grand hôpital du centre. Le gigantesque bâtiment aux murs d’un blanc éclatants et aux petites dames aux voies nasillardes et grinçantes. Dans cette endroit bien trop grand pour accueillir deux fillettes dotées d’un pouvoir qui à cette époque dépassait le sens logique du moindre médecin.
Quali est née jumelle, elle vécue jumelle pendant quelques temps mais les événements douloureux qui suivirent sa naissance la privèrent de la présence rassurante et chaleureuse de son double.

C’était en Août. Le mois le plus chaud de l’année, bien qu’en Russie il ne fasse pas vraiment une chaleur étouffante, et que la température maximal avoisine le 20°c et la riche famille Elvaneski -constituée en cette journée de Mrs Elvaneski riche politicien travaillant pour le ministère de la guerre, Dame Elvaneski noble aristocrate pas vraiment importante mais qui fit magnifiquement succomber Sieur Elvaneski grâce à la beauté de ses yeux bleus, les jumelles Elvaneski, Qualindra et Lunindra les « bizarres de la famille » et Cynthia la plus petite, celle de 10 ans, installés dans une berline rouge, le véhicule que Ioulia Elvaneski avait choisie, et qui ne plaisait d’ailleurs qu’à sa plus jeune fille et à elle-même, la voiture définissant parfaitement les personnalités de la mère et de sa plus petite, tape-à-l’œil et extravagante.
Une chaude soirée d’Août qui aurait du être joyeuse, une nuit heureuse, les Elvaneski étaient en route pour la grande soirée organisé pour les 10ans tout juste de leurs plus jeune, fête ou l’attendait un nombre considérables de personnages inconnus et lointainement amis. Mais ils y aillaient, et, comme toujours, les jumelles plus comme poids que comme enfants de la famille les accompagnaient dociles et silencieuse…

Plus tard, après l’accident les gens diront que ce n’étaient pas de leurs fautes les pauvres parents. Ils n’y pouvaient pour rien si l’une de leurs jumelles n’était pas attachée. Qu’ils avaient fait tout de même tout ce qu’il pouvait pour sauver la douce Luna, même s’ils s’étaient lâchement enfuis dès qu’ils en avaient eu l’occasion.
Attristé par la mort de la jumelle et tellement compréhensifs les gens n’osèrent pas faire leurs condoléances à la jumelle restante, trouvant bien plus approprier d’offrir un bibelot, une poupée à la petite dernière et à sa jambe cassé.
Une famille plus petite, un traumatisme horrible, une jambe cassé, la perte d’un double, quelques égratignures, la folie d’une petite fille, des cadeaux en abondances et la solitude même pour une gamine… En cette journée d’Août, dans un malheureux accident de voiture, ce n’est pas une, mais deux enfants que les Elvaneski perdirent.

Quelques jours passèrent avant que Quali fut envoyé chez un psychiatre, et c’est d’une voie mal assuré qu’elle déclara avec une franchise enfantine :
« C’était le soir et je m’en souviens très bien.
Luny’ chantonnait tranquillement dans son coin comme jamais l’une des douce mélodie tout droit sortie de notre boite à musique. Je l’écoutait tout en m’endormant sur son épaule… De nous deux elle à toujours était le plus forte…
Maman parlait avec papa de la soirée, elle disait que la fête serait superbe, qu’on recevrai plein de cadeaux et que les gens nous dirais que nos nouvelle robes étaient très belles. Je crois qu’elle parlait plus pour Synthia que pour nous, parce que ma robe et celle de Lun’ c’étaient les même que celle qu’on avaient eu pour notre anniversaire. Mais maman aime plus Synthia que no… que moi je le sais…
Je me rappelle que Maman parlait et parlait, et que Luna elle en avait marre. Notre maman semblait ne pas nous voir. Elle parlait de notre petite sœur et je crois que ça plaisait pas à Lun’. Moi je m’en fiche, maman elle même pas, alors moi je l’aime pas non plus…
Je crois que Lunindra à sourit à maman. Je l’avais jamais vue sourire à notre maman mais je l’aimais quand même… Elle a prit ma mains et ma fait un bisous sur la joue elle ma dit qu’elle m’aimait et qu’elle m’aimerait toujours. Puis elle à fait une chose bizarre avec sa main. Je comprend… comprenais pas les choses qu’elle faisaient quand elle soufflait sur sa main. Et ce jour elle à soufflé sur sa main. J’ai pas compris pourquoi je me souviens plus de rien après… La voiture s’est soulevé tout à coup. Je crois que papa à fait quelque chose avec la voiture et que c’est pour ça qu’elle s’est retourné…
Quand je me suis réveillé j’étais dans une chambre bleue. Dans un lit, toute seule…
J’ai pas crut papa quand il m’a dis que je ne reverrait plus Luna, qu’elle était partie rejoindre mamie et papy et Sobibo le chat. Alors il m’a amener la voir…
El…Elle était tou…toute froide… Elle avait les yeux fer…fermés et el…leuuh me…me souriait pluuuus… Je… Je crois que j’ai pleur…pleuré… »
Quali n’en dit pas plus… Et n’en dira certainement jamais plus. Douce fillette disparut dans la tempêtes de sentiments qui se battaient aussi bien dans sa petite tête que dans son cœur.

Les années s’écoulèrent douloureusement semblables à toutes les autres pour notre jeune demoiselle. Ses parents indifférent à ce qu’il se passait dans la tête de leurs douce jumelle, vivant comme toujours, comme jamais, profitant du silence rassurant d’une de leurs fille pour faire parler leurs petite dernière.
Quali ne put dire ce qu’il se passa pendant ses années. Elle décrit juste la solitude l’entourant, la tristesse, la délaitions de ses parents, l’indifférence des amis et de la famille. Cette partie de sa vie est flou…
Seul le jour ou elle sembla revivre est net dans son esprit. Son cœur reprit le dessus, comme il aurait dut le faire depuis longtemps. Choisissant le changement à une vie de silence.
C’était en hiver, et Quali comme tout les hivers procédait méticuleusement au nettoyage saisonnier, profitant de cette journée pleinement, car oui elle avait besoin d’une journée pour nettoyer, rangé, retrouver des objets dans sa chambre.
Une journée ou elle retrouvait avec un pincement au cœur les souvenirs qu’elle prenait soins d’enfouir dans le fin fond d’un tiroir ou d’une armoire, comme ce jour là ou elle étala sur son lit la petite robe bleue de sa défunte sœur jumelle. Un sourie mélancolique, sa mort ne remontait à des année, mais Quali ne se sentait pas le moins du monde prête à vivre sans cette sœur que la vie lui avait arraché si violemment.
Mlle Elvaneski vidait sa commodes de toutes les bêtises qui l’encombrait laissant de côté la robe, qui ne lui servait d’ailleurs à rien, s’aéré sur son lit. Quali n’entendit pas la porte de sa chambre s’ouvrire doucement, peut-être parce que la musique à un volume plutôt élevé était allumée. Elle n’entendit que l’exclamation ravie de la personne qu’elle haïssait depuis quelques temps déjà.

- Maman à dit que… Oh elle est trop belle !!!!Je la veux.
Notre jeune demoiselle se leva vivement lâchant les quelques affaires qu’elle avait en mains.
- Lâche ça Synthia, elle est pas pour toi !!
La voie d’une demoiselle ne trahissant que la vague colère qui l’a prit soudain. D’autant plus que sa jeune sœur ne semblait point vouloir lâcher le précieux vêtement.
- Non, elle est à moi. Mamaaaaaaan Quali elle me donne une robe !!!
Les paroles prononcé avec froideur, des mots sortant de la bouche de la plus petite des Elvaneski, blessant, repoussant une fois de plus les limites de son sans froid notre douce Quali se contenta de soupirer et d’attraper un bout de la dite robe.
- Rends moi cette robe s’il te plais, elle n’est pas à toi et ne le sera jamais c’est simple à comprendre, non ?
Le calme incarné dans cette demoiselle pas très âgée. Un calme apparemment, cachant sous ce masque fragile une colère grandissante en vers cette petite personne qui faisait preuve d’imprudence.
- Non je l’ai, elle est à moi maintenant !!
La petite personne se mis à tendre le tissus dans sa direction, refermant ses mains plus fermement sur le vieux tissus fragile et précieux.
- Synthia rend la moi, je t’en pris…
Une plainte tout droit sortie du cœur, ce cœur si fragile. La peine et la douleur reparaissant dans l’esprit de cette fragile Quali, elle serra le tissus entre ses doigts aux risque de l’abîmé. Sa prière ne fut apparemment pas exaucé, car sa petite sœur, au lieux de faire preuve de raison tira sur la robe, et ne voyant pas sa grande et bizarre de sœur la lâcher tira plus fort, plus fort plus… Et ce qui devait arriver arriva.
Le tissus soyeux commença à se découdre par endroit, et Quali sentit les déchures comme s’il s’agissait de son propre corps que l’on disloquait peu à peu. Il y eu un « crack » bruyant et deux bout de robe dans chaque mains. C’est la que la touche finale vint frappé Mlle Quali en pleine fasse.
- Pff, elle était même pas belle en plus ! Tu peux le garder ton chiffon !!
Blessant, méchant, douloureusement vrai, une douleur plus forte encore que celle qu’elle avait ressentie après la mort de sa sœur lui enserra le cœur, c’était comme si sa douce jumelle mourrait une seconde fois.

Ce qui se passa en suite fut flou pour notre jeune femme, mais pour la petite sœur qui, elle n’en perdit pas une miette. ..
La douce jeune fille se laissa glisser pitoyablement sur le sol, tenant entre ses mains fragile les quelques bout de tissus à jamais détruit. Elle fut bien trop absorbé par ce spectacle qu’elle ne remarqua pas les quelques meubles de sa chambre qui s’envolèrent petit à petit et vinrent tournoyer autour de sa tête. La chaise, la porte cassé de son armoire, la caisse pleine de bric à brac, une paire de chaussure, le tabouret, le fauteuil cassé se mirent à tourner autour de la fragile jeune fille qui tout en puisant dans ses forces les plus profondes ne se rendait pas compte de ce qui se déroulait dans sa chambre.
Le tabouret vint s’écraser sur l’impertinente gamine qui ne bougeait plus depuis quelques secondes, un bruit atroce venant tout droit du corps de la plus petite des Elvaneski se fit entendre et c’est alors que Quali leva la tête des haillons de robe, le temps d’apercevoir sa petite sœur tomber sur le coin de son lit, sa nuque s’écraser sur un bord en un craquement horrible vint à ses oreilles et ce fut la fin !
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